Bonjour à tous

RDV mardi 6 août après midi à partir de 13 h 30
Les Huiles Essentielles, comment les faire soi-même?

Lieux de la rencontre:
Michele G
Geromenil 90 r Ecole 88220 HADOL
itinéraire pour s'y rendre depuis Epinal
Plan
Itinéraire

http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/pfFicheDetailleePart.jsf?idParution=032932568300000000C0002&idInscription=0&autresCoords=false&grandeCarte=true&itineraire=true

les huiles essentielles comment les faire soi même ,

Présentation d'un alambic spécial huile essentielle

une encyclopédie des huiles essentielles

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=ru&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fvk.com%2Fdoc-34180017_44248434%3Fdl%3D28aabb49a7217e1962&anno=2

cliquer sur la plante désirée et la traduction se fait automatiquement

Pour plus de renseignements voici deux liens wikipédia, l' un en français l' autre en russe

Vous pourrez noter la différence entre le contenu des dieux sites , très édifiant !!

http://fr.wikipedia.org/wiki/Huile_essentielle

http://ru.wikipedia.org/wiki/Эфирные_масла

Pour la production d'huiles essentielles utilisé une variété de plantes. Ceux qui contiennent une forte concentration des substances volatiles et est largement utilisé dans la pratique, sont appelées plantes aromatiques .


Mes Chers amis
J'ai le plaisir de vous annoncer la sortie prochaine de mon nouvel album, intitulé " AnnaBelle ou le goût de l'aventure… " que je vous présente en vous en offrant un petit condensé à travers quelques extraits.
A découvrir encore (pour ne pas tout vous dévoiler !) : le livret inclus sous forme de poster couleurs recto verso d'une dimension de 24/36 cm !


http://atelierlemat.com/annabellepub/annabelle.htm

Saveurs d'Ortie


L'ortie, comme beaucoup d'autres végétaux indigènes, a perdu son statut de légume à part entière au moment où des espèces nouvelles rapportées des colonies firent leur apparition sur nos tables. La transition ne fut pas brutale, elle dura plusieurs siècles, la réticence des populations rurales était un frein sérieux à la progression des nouveaux venus. Néanmoins, peu à peu, panais, mouron, pourpier, chénopode, renouée, amarante et ortie disparurent de nos menus. Certes les légumes nouveaux qui les remplaçaient ne manquaient pas d'atouts : grande productivité, facilité de stockage..., ils permirent dans bien des cas d'améliorer les conditions d'existence de nos aïeux. A l'époque, la quantité d'aliments ingérés primait sur la valeur nutritionnelle, et pour cause ! La consommation de ces plantes redevenues sauvages ne fut plus pratiquée qu'aux périodes de crises ou de famines... Leur image devint celle de légumes de misère.
Cependant, quelques-unes gardèrent un statut privilégié, la mémoire populaire conservant le souvenir de leur action bienfaisante sur l'organisme. C'est le cas du pissenlit et de l'ortie, encore aujourd'hui à la base des fameuses cures revitalisantes de printemps. On a cru ce patrimoine culturel voué à une inéluctable disparition...
Mais, juste retour des choses, voilà que nos scientifiques, analyses à l'appui, démontrent que nos légumes indigènes assauvagis (on les appelle maladroitement les mauvaises herbes) surpassent bon nombre de fruits et légumes quant à la qualité et à la quantité des vitamines et éléments minéraux
qu'ils contiennent.
Toutes nos rencontres ont lieu désormais:

les samedis après midi
(sauf vacances scolaires)

à 19h

Salle de la Beaudenotte.


Chaque samedi un thème différents a découvrir....
A bientôt.